Le jeudi trente janvier 2014 à
quatorze heures je suis allé au bar “Le Mut”, sur la place des “patatas” à
Figueres, parce que j’avais un rendez-vous avec Giovannina pour lui faire une
interview.
Giovannina est une serveuse du
bar, elle travaille là depuis le mois d’août 2013.
En réalité elle s’appelle
Nina, un diminutif de Giovannina. Ses parents ont seulement voulu l’appeler
sous le nom de Nina.
Elle a vingt-huit ans. Elle
est née à Bordeaux, en France, à peu près à 450 Km de Figueres, dans une région
où le vin rouge est typique.
Elle est venue en Espagne à trois
ans. Ses parents venaient en Espagne en vacances parce que sa grand-mère avait
un restaurant à Roses. Après elle est restée avec sa grand-mère, elle allait à
l´école ici, et ses parents sont partis vivre à Paris.
Maintenant ses parents
habitent à Paris et elle fait sa vie en Espagne, travaille et habite à
Figueres.
Nina a étudié en Espagne, d’abord
à l´école et après au lycée. Le premier lycée où elle est allée c’est le lycée
« Cendrassos » à Figueres et après elle est allée au lycée de Castelló
d´Empúries.
Elle a commencé à travailler à
quinze ans. Son premier travail a été dans une blanchisserie qui est sur la
route de Roses ; et après, à seize ans, elle a commencé à travailler dans l’hôtellerie
jusqu´à maintenant où elle travaille dans la restauration. Elle est aussi en
train de faire des études à distance de puériculture, pour être professeure
d’enfants de zéro a six ans.
Tous les weekends Nina va à
Perpignan parce qu’elle a une tante qui habite là. Elle va aussi à Paris une
fois par an pour rendre visite à ses parents et à sa famille ; mais elle se
trouve mieux en Espagne qu´en France pour plusieurs motifs: Elle pense qu´en France
les personnes sont plus désagréables et qu´en Espagne les gens sont plus
contents.
Cependant elle reconnaît qu´en
France la situation économique actuelle est meilleure qu´en Espagne: les
salaires sont plus élevés; il y a plus de travail; le salaire minimum est
supérieur au salaire minimum espagnol ; et le gouvernement français accorde
plus d'aides économiques aux citoyens que ne le fait le gouvernement espagnol.
José Antonio Alonso, EOI Figueres, niveau 2
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