Voici les portraits de personnes francophones qui habitent ou ont habité l'Empordan. Ils ont partagé quelques minutes de leur vie avec nous pour nous expliquer leur itinéraire et leurs centres d'intérêt...

mardi 6 mai 2014

Nina, Figueres




Le jeudi trente janvier 2014 à quatorze heures je suis allé au bar “Le Mut”, sur la place des “patatas” à Figueres, parce que j’avais un rendez-vous avec Giovannina pour lui faire une interview.
Giovannina est une serveuse du bar, elle travaille là depuis le mois d’août 2013.
En réalité elle s’appelle Nina, un diminutif de Giovannina. Ses parents ont seulement voulu l’appeler sous le nom de Nina.
Elle a vingt-huit ans. Elle est née à Bordeaux, en France, à peu près à 450 Km de Figueres, dans une région où le vin rouge est typique.
Elle est venue en Espagne à trois ans. Ses parents venaient en Espagne en vacances parce que sa grand-mère avait un restaurant à Roses. Après elle est restée avec sa grand-mère, elle allait à l´école ici, et ses parents sont partis vivre à Paris.
Maintenant ses parents habitent à Paris et elle fait sa vie en Espagne, travaille et habite à Figueres.
Nina a étudié en Espagne, d’abord à l´école et après au lycée. Le premier lycée où elle est allée c’est le lycée « Cendrassos » à Figueres et après elle est allée au lycée de Castelló d´Empúries.
Elle a commencé à travailler à quinze ans. Son premier travail a été dans une blanchisserie qui est sur la route de Roses ; et après, à seize ans, elle a commencé à travailler dans l’hôtellerie jusqu´à maintenant où elle travaille dans la restauration. Elle est aussi en train de faire des études à distance de puériculture, pour être professeure d’enfants de zéro a six ans.
Tous les weekends Nina va à Perpignan parce qu’elle a une tante qui habite là. Elle va aussi à Paris une fois par an pour rendre visite à ses parents et à sa famille ; mais elle se trouve mieux en Espagne qu´en France pour plusieurs motifs: Elle pense qu´en France les personnes sont plus désagréables et qu´en Espagne les gens sont plus contents.
Cependant elle reconnaît qu´en France la situation économique actuelle est meilleure qu´en Espagne: les salaires sont plus élevés; il y a plus de travail; le salaire minimum est supérieur au salaire minimum espagnol ; et le gouvernement français accorde plus d'aides économiques aux citoyens que ne le fait le gouvernement espagnol.
José Antonio Alonso, EOI Figueres, niveau 2

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